Bonsoir les Ch'tis !
Un de mes ancêtres, à Lille vers 1750, exerçait la profession de "visiteur de pièces" (selon l'acte de naissance d'un de ses enfants)
Savez-vous en quoi consistait ce métier ?
Merci d'avance pour vos réponses,
Frédéric "Morli" Morlighem
vieux métier: visiteur de pièces
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- Enregistré le : 17 avr. 2007 18:14
visiteur de pieces
bonsoir Frederic
vu sur les anciens metiers
visiteur de pieces : controleuse dans une fabrique de tissus voir aussi visiteuse.
visiteuse dans une fabrique de dentelle la visiteuse etait chargée de controler la qualité de fabrication de la dentelle
bonne soirée nicole
vu sur les anciens metiers
visiteur de pieces : controleuse dans une fabrique de tissus voir aussi visiteuse.
visiteuse dans une fabrique de dentelle la visiteuse etait chargée de controler la qualité de fabrication de la dentelle
bonne soirée nicole
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- Enregistré le : 18 mars 2007 12:39
Il y a moins d'un siècle la Métrople Lilloise reprenait beaucoup d'usines textile (notamment Roubaix) chacun était tisserand, fileur ou visiteuse de pièce toute la vie tournait sur la laine et le tissu
la visiteuse de pièce était donc chargée du controle de la qualité
une approche de la certification iso 9001
Je confirme les propos de Nicole
bonne soirée à vous deux Nicole et Frédéric
Marc
la visiteuse de pièce était donc chargée du controle de la qualité
une approche de la certification iso 9001
Je confirme les propos de Nicole
bonne soirée à vous deux Nicole et Frédéric
Marc
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- Enregistré le : 09 janv. 2006 17:16
Visiteur de pièces
Bonjour Frédéric, Nicole et Marc. On peut préciser que les visiteuses marquaient à la craie à tissu tous les défauts décelés. Les pièces de tissu passaient ensuite entre les mains des piqûrières chargées de réparer ces défauts ; elles étaient rémunérées en fonction de la longueur et de la nature des défauts. Dans les années 50 il y avait toujours à Roubaix des ateliers de piqûrage mais aussi des piqûrières à domicile. Cordialement. Jean
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- Enregistré le : 17 juil. 2007 09:40
bonjour à tou(te)s,
et merci de vos réponses concordantes... je me rends compte que je côtoie actuellement ce métier, qui existe encore aujourd'hui dans l'industrie automobile: en effet, mes collègues contrôlent les peaux de cuir tanné qui servent à réaliser les selleries sur les véhicules "haut de gamme"...
bien amicalement,
Frédéric "Morli" Morlighem
et merci de vos réponses concordantes... je me rends compte que je côtoie actuellement ce métier, qui existe encore aujourd'hui dans l'industrie automobile: en effet, mes collègues contrôlent les peaux de cuir tanné qui servent à réaliser les selleries sur les véhicules "haut de gamme"...
bien amicalement,
Frédéric "Morli" Morlighem
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- Enregistré le : 04 mars 2008 09:44
Visiteur (se) de pièce
Bonjour,
Je découvre avec du retard votre question sur les visiteurs (ses) de pièce.
Etant natif de Roubaix je suis tombé tout petit dans le textile et je voudrais vous apporter quelques précisions.
Lorsqu'une pièce de tissu était tissée, un premier contrôle était effectué par des "visiteurs" souvent des femmes. Les défauts de tissage étaient effectivement marqués à la craie et s'ils était réparables, la piéce de tissu était dirigée vers un atelier de "piquriéres" ( Le fil qui fait défaut est repoussé sur l'envers du tissu) ou un atelier "d'éplucheuses" ( A l'aide d'une pince on élimine l'irrégularité du tissu). Ma mère fut éplucheuse à domicile pendant 15 ans et je l'aidais souvent à rouler les pièces de tissu ( 50 mètres, 30 kilos).
Aprés ces réparations les pièces repassaient à la "visite" ( Contrôle) et si des défauts étaient encore visibles ou non réparables, la visiteuse nouait un petit fil de couleur, appelé "sonnette", sur la lisière, à la hauteur du défaut, afin qu'à la coupe du tissu, on tienne compte de la présence de ce défaut.
A bientôt. Jean-Claude le Montpellierain !
Je découvre avec du retard votre question sur les visiteurs (ses) de pièce.
Etant natif de Roubaix je suis tombé tout petit dans le textile et je voudrais vous apporter quelques précisions.
Lorsqu'une pièce de tissu était tissée, un premier contrôle était effectué par des "visiteurs" souvent des femmes. Les défauts de tissage étaient effectivement marqués à la craie et s'ils était réparables, la piéce de tissu était dirigée vers un atelier de "piquriéres" ( Le fil qui fait défaut est repoussé sur l'envers du tissu) ou un atelier "d'éplucheuses" ( A l'aide d'une pince on élimine l'irrégularité du tissu). Ma mère fut éplucheuse à domicile pendant 15 ans et je l'aidais souvent à rouler les pièces de tissu ( 50 mètres, 30 kilos).
Aprés ces réparations les pièces repassaient à la "visite" ( Contrôle) et si des défauts étaient encore visibles ou non réparables, la visiteuse nouait un petit fil de couleur, appelé "sonnette", sur la lisière, à la hauteur du défaut, afin qu'à la coupe du tissu, on tienne compte de la présence de ce défaut.
A bientôt. Jean-Claude le Montpellierain !
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- Enregistré le : 12 janv. 2006 21:18
Bonjour,
Pourquoi mettre au passé ?
On rencontre parfois un "bout" de fil ou de laine sur un article textile qu'on achète, et c'est bien la preuve que ce metier existe toujours....
Il est vrai qu'il faut aller dans les pays à faible coût de main d'oeuvre pour les rencontrer.
Cordialement,
Jean SALIN
Pourquoi mettre au passé ?
On rencontre parfois un "bout" de fil ou de laine sur un article textile qu'on achète, et c'est bien la preuve que ce metier existe toujours....
Il est vrai qu'il faut aller dans les pays à faible coût de main d'oeuvre pour les rencontrer.
Cordialement,
Jean SALIN
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