Geneachtimi
Bonjour FlorenceMerci.
J'ai un peu changé d'avis depuis hier.
Le cache des roues arrières désigne bien une peugeot..
J'étais d'accord pour la 202 à cause de l'ouie latérale unique,
mais les essuie glaces sont en haut du pare-brise ce qui était le signe de la 402
, sauf pour les cabriolets, ou ils étaient en bas. 
Ce qui diffère de la 202 dont les essuie glaces étaient en bas
... sauf pour les cabriolets ou ils étaient en haut.. 
Mais leur profil est très proche..
Je n'ai pas réussi à joindre de photos, mais vous en trouverez facilement sur internet, il y en a même avec une espèce de piscine à gaz sur le toit... .
En France à l'époque, Il n'y a pas de modèle précis, en ces temps de pénurie, le maréchal ferrant adaptait la ferraille qu'il trouvait, et la puissance voulue.
Il a existé une peugeot 402 équipée d'origine avec un gazogène mais il était plus imposant.
Wikipedia
Par ailleurs, afin de remplacer l'essence, rationnée dès novembre 1940, la Peugeot 402 se dote de solutions de remplacement. Le système gazogène en est une : cette technique n'est pas nouvelle, elle est déjà employée dans les années trente. Le principe du gazogène consiste à greffer sur le véhicule une installation permettant la combustion de bois, fournissant ainsi un gaz pauvre. Une fois filtré, ce dernier pénètre dans un mélangeur équipé d'une prise d'air installée au-dessus du carburateur. Il faut allumer le foyer et attendre une combustion idéale afin d'obtenir un flux de gaz régulier. Une 402 B équipée du gazogène « polycombustible » breveté Gohin-Poulenc atteint péniblement les 75 km/h tout en consommant 20 à 30 kg de charbon de bois à l'heure en moyenne[12] avec une faible autonomie.
type D5G TH2G gazogène 402 B 9 CV. C. U. 1200 kg nombre 2114
Si votre ancêtre faisait peu de km, un tube pouvait suffire et préservait le reste de la galerie pour poser du matériel, et permettait d'équiper un modèle préexistant.
Mais cet équipement n'est qu'une hypothèse...
Pour l'enfant, il a une tenue que j'appellerai "de lendits" mais qu'il a pu garder tout l'été, il n'aurait pas pu les remettre l'année suivante.
Je pensais que c'était "jour de fête", fin juin, car le plus âgé était bien habillé, gilet, montre en sautoir, chemise blanche, mais s'il est tailleur, ce raisonnement ne tient plus. Mais la photo aurait été prise en été...
Et la vie continuait pendant l'occupation, avec des fêtes scolaires.
Tant les staliniens que les allemands ou français aimaient bien ces fêtes avec les gamins en blancs qui sautillaient et défilaient dans les stades.
La maison est reconnaissable, partie ancienne de la ville, peut être pourriez vous prendre contact avec un généalogiste local ou la mairie, s'ils connaissent la maison, l'adresse connue, ils pourraient à l'aide du recensement consultable en mairie voir qui y habitait.
Et vous dire s'il y avait un garçon né à la fin des années 30....
Cet octogénaire est peut être encore vivant..
bon courage en tous cas.
cordialement
Thierry
comme beaucoup de ceux qui ont fui en mai 1940
