La vie à La Bassée d'Octobre 1914 à Avril 1915
Posté : 05 mars 2006 22:30
Bonsoir,
j'ai retrouvé un petit livre chez mon père : La vie à La Bassée d'Octobre 1914 à Avril 1915 (Lille, René Giard, libraire, 2 rue royale)
"L'auteur de ce journal est une religieuse des Dames de Saint-Maur, institutrice à La Bassée en 1914. Le journal, écrit sous la forme de lettres à une Supérieure demeurée à Paris, va des premiers jours d'octobre 1914, où les Allemands entrèrent à La Bassée, au 4 avril 1915, où ils "évacuèrent" la population. Il fait connaître en détail l'état d'âme de cette petite ville héroïque sous la plus dure des sujétions, sous la menace perpétuelle de la mort, à quelques centaines de mètres de la ligne de feu. Cette ville n'est plus qu'un vaste amas de ruines jonchant le sol. Le journal la fait revivre à l'époque tragique où elle était en train de mourir"
c'est donc un petit livret d'une trentaine de pages. je peux le scanner et le mettre à disposition si cela intéresse quelqu'un. (merci de me préciser si j'en ai le droit ou non)
à bientôt
Viridiana Desbuisson
j'ai retrouvé un petit livre chez mon père : La vie à La Bassée d'Octobre 1914 à Avril 1915 (Lille, René Giard, libraire, 2 rue royale)
"L'auteur de ce journal est une religieuse des Dames de Saint-Maur, institutrice à La Bassée en 1914. Le journal, écrit sous la forme de lettres à une Supérieure demeurée à Paris, va des premiers jours d'octobre 1914, où les Allemands entrèrent à La Bassée, au 4 avril 1915, où ils "évacuèrent" la population. Il fait connaître en détail l'état d'âme de cette petite ville héroïque sous la plus dure des sujétions, sous la menace perpétuelle de la mort, à quelques centaines de mètres de la ligne de feu. Cette ville n'est plus qu'un vaste amas de ruines jonchant le sol. Le journal la fait revivre à l'époque tragique où elle était en train de mourir"
c'est donc un petit livret d'une trentaine de pages. je peux le scanner et le mettre à disposition si cela intéresse quelqu'un. (merci de me préciser si j'en ai le droit ou non)
à bientôt
Viridiana Desbuisson