www.geneachtimi.com

Il s'agit d'une chanson très jolie qui parle du Pays d'Artois,le refrain dit ceci :
Ecoute o mon coeur, écoute la harpe
Du vent de chez nous du pays d'Artois
C'est un très vieux air des bords de la Scarpe
Qui chante aujourd'hui tout comme autrefois.

Il y a plusieurs couplets dont j'aimerais retrouver le texte
A l'avance merci

Enfant à l'âme inasservie,
Jadis entraîné loin de toi,
Sol natal je revois ma vie
Prèsd'un berceau sous l'humble toit ;
Et dans mes soirs de rêverie
S'en va vers mon coeur attristé
L'écho de tes berges fleuries
Et mon hiver est un été.

Refrain :
Écoute, Ô mon coeur, écoute la harpe
Du vent de chez nous, du pays d'Artois.
C'est un très vieux air des bords de la Scarpe
Qui chante aujourd'hui tout comme autrefois.

Devenu plus grand, c'est la terre,
Terre d'Artois au sol fécond,
Qui consola ma peine amère
Avec ce refrain vagabond;
Et mes yeux aux clartés de cierges,
Parmi l'herbe où j'allais m'asseoir,
Voyaient errer de pâles vierges
Dans les ombres vagues du soir.

Cependant renaît comme un songe,
Tout au fond de mon souvenir,
Sans l'illusion du mensonge,
Un printemps qui ne peut finir;
Et le labeur des belles filles
Qui s'en vont aux jours des moissons
Fauciller le pain des familles
S'achève au vol de tes chansons.

Voilà j'espère que c'est ce que tu cherches...

Formidable c'est exactement cela, elle devrait être aussi connue que le P'tit quinquin même si elle n'est pas en patois
Merci
Cordialement
J-C Dammaretz

Si vous voulez, j'ai la partition à 4 voix d'hommes(pour choeur d'hommes)
C'est vraiment un trés beau chant
Pol1

C'est très aimable à vous, si vous pouvez sanner cette partition et me l'envoyer en pièce jointe à mon adresse E'mail :

papyjeanclaude @orange.fr

Savez-vous si cette chanson fait partie d'un CD du commerce ? Si oui quel est son titre ?

A l'avance merci

Cordialement
J-C Dammaretz

Le titre est : ou Chanson du pays d'artois ou Ecoute ô mon coeur de Michel Legay

Voici la partition :

Merci pour tout

Cordialement
J-C DAMMARETZ

Enfant à l' âma inasservie,
Jadis entriné loin de toi,
Sol natal je revois ma vie
Près d' un berceau sous l' humble toit;
Et dans mes soirs de rêverie
S' en va vers mon coeur attristé
L' écho de tes berges fleuries
Et mon hiver est un été.


Devenu plus grand, c' est la terre,
Terre d' Artois au sol fécond,
Qui consola ma peine amère
Avec ce refrain vagabond;
Et mes yeux aux clartés de cierges
Parmi l' herbe où j' allais m' asseoir,
Voyaient errer de pâles vierges
Dans les ombres vagues du soir.


Cependant renaît comme un songe,
Tout au fond de mon souvenir,
Sans l' illusion du mensonge,
Un printemps qui ne peut finir;
Et le labeur des belles filles
Qui s' en vont aux jours des moissons
Fauciller le pain des familles
S' achève au vol de tes chansons.