Bonjour à tous,
Pas seulement logiquement mais obligatoirementlecleiremichel a écrit :Pour résumer ce qui a été dit, il faut donc logiquement une autorisation spéciale de Rome ou de l'évêque qui n'apparait pas dans l'acte de bapt de 1721
Les curés étaient formés et ne pouvaient pas ignorés.lecleiremichel a écrit : soit que le curé est passé outre, consciemment ou par non connaissance des textes.
Même avant d'en avoir l'obligation,les curés tenaient des registres indispensables pour pouvoir établir les empêchements au mariage qui étaient à une époque du 7ème degré pour la consanguinité
L'affinité spirituelle existait avant 521,elle était ancrée dans les moeurs
http://books.google.fr/books?id=uTxAAAA ... ione&hl=fr
Plutôt qu'un résumé,la lecture des conferences ecclesiastiques de 1715 précise l'affinité spirituelle,le rôle des parrain et marraine et l'empêchement dirrimant qui en découle D'autre part,les curés étaient inspectés par les évêques(il y a un sujet d'Annie-Françoise) et n'auraient pas pris la liberté de ne pas faire une demande de dispense.Chaque demande était assortie d'une offrande.Pour les pauvres,les dispenses pouvaient être accordées par l'évêque plutôt que par le pape
Bonne lecture