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Bonjour

Un lien qui nous en apprend sur la méthode - ou l'absence de méthode - de l'employé communal en charge des tables décennales vers les années 1855-
Et de ses successeurs, puisque personne n'a rattrapé le coup...
Donc, celui qui identifie les époux du mariage en date du 27 septembre 1861 que j'ai fini par trouver remporte le quizz.. dont le gain se limite à ma considération

Le lien
https://archives.somme.fr/ark:/58483/sk ... 9aa3ab0173

cordialement

Thierry

Bonjour,
Les erreurs dans les TD ne sont pas rares, malheureusement. Je l'ai constaté en participant à des opérations de relevés de TD, en vérifiant avec le registre Naissance-Mariage-Décès (NMD) correspondant lorsqu'il existe...
Cette situation est fort ennuyeuse pour les communes pour lesquelles il ne reste que les TD et quelques actes reconstitués suite à faits de guerre. C'est le cas pour celles situées sur le front de la bataille de la Somme en 1916.
Cordialement JPierre

Bonjour Jean-Pierre

Il n'y a strictement aucun mal dans cet oubli des dates, c'est même amusant ce loupé avec la colonne blanche qui saute aux yeux...
Le type s'est appliqué à recopier 24 actes dans un excellent ordre alphabétique, puis il a laissé en blanc les dates équivalentes dans la colonne de droite..

Le maire a validé, le greffier du tribunal a mis son tampon pour valider la vérification en 1863 et montrer que tout était en ordre...

Pendant un siècle et demi, tous ceux qui ont consulté ces mariages se sont tapes les dix ans d'actes pour trouver celui qu'ils cherchaient, et personne n'a jamais pensé à rajouter les dates en face des noms...
a la limite, c'est le plus bête...
Il y en a pour une demi-heure, en écrivant très proprement, le registre étant bien ordonne....

Je cherchais un mariage entre 1853 et 1862, bien sûr c'était la neuvieme année, sur les dix possibles.qui était la bonne..1861...
Après ça ne prend pas un temps fou, il y a au maximum 10 mariages par an, le secrétaire établissait un tableau alphabétique a la fin de chaque année, ce n'est pas le bagne non plus..
pas de quoi perdre le sourire...
Mais c'est bien de pointer ces petites choses qui sortent de la routine dans les registres...

Surtout que Gueschart, c'est ma source paternelle...

Cordialement

Thierry