Bonjour, Marie, Jean-Louis, Pierre,
Un grand merci à vous, pour tous ces renseignements et détails.
J'ai été sensibilisé à l'intérêt que vous avez apporté à ma demande.
Je vous tire mon chapeau !
Aprés quelques recherches complémentaires :
Jacques Louis CAILLIAU, né le 03/01/1880 à Lederzeele, est l'ainé de Marie Dominique CAILLAU, née le 10/12/1681 à Lederzeele.
D'aprés "deschodt sur généanet", Marie Dominique CAILLAU est décédée le 13/07/1755 à Lederzeele, son second mariage le 15/06/1723 à Lederzeele avec Jacques DRIEUX.
Pierre,
Votre image IMG_4191(1), correspond bien au baptême de Marie Dominique CAILLAU, née le 10/12/1681 (à confirmer Lederzeele), avez vous sa traduction et éventuellement l'acte de son décés du 13/07/1755 à Lederzeele.
Je recherche également :
Le second acte de mariage du 15/06/1723 à Lederzeele, de Marie Dominique CAILLAU à Jacques DRIEUX, qui me donnerait certains autres renseignements utiles dans mes recherches.
L'acte de naissance de SEGAERT Guillaume vers 1676.
Encore merci à vous
Cordialement
Francis DUMONT
Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
-
- Messages : 346
- Enregistré le : 25 févr. 2008 17:03
-
- VIP
- Messages : 5036
- Enregistré le : 21 avr. 2010 10:19
Re: Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
Bonjour Francis, bonjour à tous,
Voici la traduction de l'acte de baptême transmis par Jean Louis,
decima decembris bap(tisa)ta fuit Maria
domenica CAILLIAU f(ili)a Jo(ann)is et Ludovicae
de pert coniugum, susceptores erant
M Bauchant pastor ex ( )*
magdalena comitissa de NIEURLET
*autre lecture : après la mention du curé, "pastor", il se pourrait que ce soit la marraine avec un prénom double : "et Maria Magdalena comitissa ...
Le 10 décembre (1681) fut baptisée Marie
Dominique CAILLIAU fille des époux Jean et Louise
DE PERT, ses parrain et marraine étaient
M BAUCHANT curé de ( )*
Magdeleine comtesse de NIEURLET
Cétait lhabitude chez les personnes de condition modeste de demander à des gens titrés, curé de paroisse, etc. dêtre parrain/marraine dun enfant, dont ils sengageaient à assurer la protection.
*Difficile de déchiffrer le nom de la paroisse (s'il s'agit du nom de la paroisse). Il y a le M de Marie (de la Visitation ?) Difficile à déchiffrer quelque chose.
Ce sujet a déjà été traité dans un des forums Généachtimi. (cf. citation ci-dessous)
Cordialement.
Marie
Extrait du blog généalogie de GENEANET
Parrains et marraines nobles pour un enfant de condition modeste
Cette semaine, une question de Valérie Pirès-Marchesseau :
J'aimerais savoir si le choix des parrains et marraines pouvait avoir une motivation de "charité". En effet, j'ai trouvé dans un acte de baptême daté du 27 août 1774, dans la paroisse de Bonnelles (Yvelines), concernant le fils posthume d'un journalier, un parrain "régisseur de la terre de Bonnelles et dépendance, procureur fiscal" et la marraine "épouse de l'écuyer de Monseigneur le duc d'Uzès, seigneur de cette paroisse". L'enfant prend le prénom de son parrain.
Quelles conséquences cette pratique pouvait elle avoir pour l'enfant ? Y a t-il dans ce cas une sorte d'engagement de part et d'autre ? Serait-ce une sorte de "récompense" pour une famille méritante ou dans le besoin? (au moment du baptême, le père de l'enfant était décédé depuis 3 mois et la mère avait déjà un fils d'un an). Je n'ai pas trouvé trace d'autres enfants ayant parrains et marraines nobles et je n'ai pas trouvé d'autre mention de cet enfant (ni décès, ni mariage) dans la paroisse. Merci de m'éclairer sur les liens qui unissaient ces proches du seigneur du lieu et une famille très modeste.
Sous lAncien Régime lenfant recevait, au moment de son baptême, parrain et marraine comme autant de protecteurs. La tendance populaire multipliait leur nombre pour mieux assurer le salut spirituel et matériel de lenfant en cas de disparition de ses parents, fait assez fréquent alors.
Le concile de Trente (1545-1563) prescrivit le retour au parrainage simple, si bien quaux XVII et XVIIIème siècles, le phénomène du parrain et de la marraine unique simposa, ceux ci ayant de fait de réelles et lourdes charges envers leur filleul. De fait, il est fréquent de voir des paysans, même très modestes, sadresser à des personnes plus riches et plus puissantes queux, telles quun notable local ou son épouse, le curé de la paroisse, ou le seigneur du lieu.
Si le parrain et la marraine acceptaient, alors les parents en ressentaient une certaine fierté et espéraient pour leur enfant quelques avantages matériels. En effet les parrain et marraine étaient obligés de diverses manières envers leur filleul(e) : spirituellement bien sûr, symboliquement comme en limousin où la tradition voulait que le parrain conduise sa filleule à lautel pour son mariage, matériellement par loffre de cadeaux ou dune protection sociale ou professionnelle, par exemple.
Ainsi sétablissaient des relations entre familles, relations qui aboutissaient à des réseaux utiles lorsque lenfant devenait adulte.
Pour la CSGHF,
Béatrice VICIDOMINI
Généalogiste professionnelle dans le lyonnais
Voici la traduction de l'acte de baptême transmis par Jean Louis,
decima decembris bap(tisa)ta fuit Maria
domenica CAILLIAU f(ili)a Jo(ann)is et Ludovicae
de pert coniugum, susceptores erant
M Bauchant pastor ex ( )*
magdalena comitissa de NIEURLET
*autre lecture : après la mention du curé, "pastor", il se pourrait que ce soit la marraine avec un prénom double : "et Maria Magdalena comitissa ...
Le 10 décembre (1681) fut baptisée Marie
Dominique CAILLIAU fille des époux Jean et Louise
DE PERT, ses parrain et marraine étaient
M BAUCHANT curé de ( )*
Magdeleine comtesse de NIEURLET
Cétait lhabitude chez les personnes de condition modeste de demander à des gens titrés, curé de paroisse, etc. dêtre parrain/marraine dun enfant, dont ils sengageaient à assurer la protection.
*Difficile de déchiffrer le nom de la paroisse (s'il s'agit du nom de la paroisse). Il y a le M de Marie (de la Visitation ?) Difficile à déchiffrer quelque chose.
Ce sujet a déjà été traité dans un des forums Généachtimi. (cf. citation ci-dessous)
Cordialement.
Marie
Extrait du blog généalogie de GENEANET
Parrains et marraines nobles pour un enfant de condition modeste
Cette semaine, une question de Valérie Pirès-Marchesseau :
J'aimerais savoir si le choix des parrains et marraines pouvait avoir une motivation de "charité". En effet, j'ai trouvé dans un acte de baptême daté du 27 août 1774, dans la paroisse de Bonnelles (Yvelines), concernant le fils posthume d'un journalier, un parrain "régisseur de la terre de Bonnelles et dépendance, procureur fiscal" et la marraine "épouse de l'écuyer de Monseigneur le duc d'Uzès, seigneur de cette paroisse". L'enfant prend le prénom de son parrain.
Quelles conséquences cette pratique pouvait elle avoir pour l'enfant ? Y a t-il dans ce cas une sorte d'engagement de part et d'autre ? Serait-ce une sorte de "récompense" pour une famille méritante ou dans le besoin? (au moment du baptême, le père de l'enfant était décédé depuis 3 mois et la mère avait déjà un fils d'un an). Je n'ai pas trouvé trace d'autres enfants ayant parrains et marraines nobles et je n'ai pas trouvé d'autre mention de cet enfant (ni décès, ni mariage) dans la paroisse. Merci de m'éclairer sur les liens qui unissaient ces proches du seigneur du lieu et une famille très modeste.
Sous lAncien Régime lenfant recevait, au moment de son baptême, parrain et marraine comme autant de protecteurs. La tendance populaire multipliait leur nombre pour mieux assurer le salut spirituel et matériel de lenfant en cas de disparition de ses parents, fait assez fréquent alors.
Le concile de Trente (1545-1563) prescrivit le retour au parrainage simple, si bien quaux XVII et XVIIIème siècles, le phénomène du parrain et de la marraine unique simposa, ceux ci ayant de fait de réelles et lourdes charges envers leur filleul. De fait, il est fréquent de voir des paysans, même très modestes, sadresser à des personnes plus riches et plus puissantes queux, telles quun notable local ou son épouse, le curé de la paroisse, ou le seigneur du lieu.
Si le parrain et la marraine acceptaient, alors les parents en ressentaient une certaine fierté et espéraient pour leur enfant quelques avantages matériels. En effet les parrain et marraine étaient obligés de diverses manières envers leur filleul(e) : spirituellement bien sûr, symboliquement comme en limousin où la tradition voulait que le parrain conduise sa filleule à lautel pour son mariage, matériellement par loffre de cadeaux ou dune protection sociale ou professionnelle, par exemple.
Ainsi sétablissaient des relations entre familles, relations qui aboutissaient à des réseaux utiles lorsque lenfant devenait adulte.
Pour la CSGHF,
Béatrice VICIDOMINI
Généalogiste professionnelle dans le lyonnais
Modifié en dernier par MariedeBlyau le 17 août 2011 14:46, modifié 2 fois.
-
- VIP
- Messages : 2005
- Enregistré le : 02 févr. 2007 17:54
Re: Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
Bonjour à tous
J'ai mis ci dessous l'acte de décès de 1755. Il fait partie d'une bobine dont VieAiePie m'a fourni la copie numérisée et dont elle m'a demandé d'assurer la diffusion via la bourse d'actes. Pour d'autres actes concernant Lederzeele après 1737, merci de passer par cette bourse d'actes, car c'est une charge plus légère pour moi. Cordialement
Pierre
PS Les patronymes : je lis LAY (pour le curé), WOETS et NIEUWENS. Mais Marie donnera surement son avis...
Francis, comme l'a dit Marie, le cliché IMG_4191 est de Jean-Louis. De même c'est lui qui pourrait vous fournir l'acte DRIEUX x CAILLIAUfrancis.dumont a écrit : Pierre,
Votre image IMG_4191(1), correspond bien au baptême de Marie Dominique CAILLAU, née le 10/12/1681 (à confirmer Lederzeele), avez vous sa traduction et éventuellement l'acte de son décés du 13/07/1755 à Lederzeele.
Je recherche également :
Le second acte de mariage du 15/06/1723 à Lederzeele, de Marie Dominique CAILLAU à Jacques DRIEUX, qui me donnerait certains autres renseignements utiles dans mes recherches.
J'ai mis ci dessous l'acte de décès de 1755. Il fait partie d'une bobine dont VieAiePie m'a fourni la copie numérisée et dont elle m'a demandé d'assurer la diffusion via la bourse d'actes. Pour d'autres actes concernant Lederzeele après 1737, merci de passer par cette bourse d'actes, car c'est une charge plus légère pour moi. Cordialement
Pierre
PS Les patronymes : je lis LAY (pour le curé), WOETS et NIEUWENS. Mais Marie donnera surement son avis...
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Modifié en dernier par pdebreu le 17 août 2011 15:40, modifié 1 fois.
-
- VIP
- Messages : 5036
- Enregistré le : 21 avr. 2010 10:19
Re: Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
Un complément d'info :
à propos de la Comtesse de Nieurlet :
le Comte de Guines et de Bonnières était aussi Comte de Nieurlet ; à ce titre il avait un château à Lederzeele avec Motte ;
il est décédé à St Omer ......et enterré au Secours de Nieurlet (ou Lederzeele) avant 1750 ; mariage en 1746 ;
Marie
à propos de la Comtesse de Nieurlet :
le Comte de Guines et de Bonnières était aussi Comte de Nieurlet ; à ce titre il avait un château à Lederzeele avec Motte ;
il est décédé à St Omer ......et enterré au Secours de Nieurlet (ou Lederzeele) avant 1750 ; mariage en 1746 ;
Marie
-
- VIP
- Messages : 2005
- Enregistré le : 02 févr. 2007 17:54
Re: Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
Bonjour à toutes et tous
Bonne lecture. Cordialement
Pierre
Pour les personnes intéressées par ce sujet : une référence.pdebreu a écrit :Simplement, vers 1700, c'est la période où aboutit "contre-réforme catholique" : pour lutter contre le protestantisme (qui avait diffusé des traductions de la bible "en langue vulgaire") l'église catholique a porté ses efforts sur le terrain de la formation - à sa manière bien sûr : meilleure éducation des curés, création de petites écoles... et contraintes morales accrues pour obtenir des filles mères le nom de leur suborneur. A cette époque manifestement l'"ascenseur social" fonctionnait.
Trop long à citer (et je pense qu'il y aurait en plus des problèmes de copyright) mais pour ceux qui ont du temps à y consacrer c'est passionnant. Et pour ceux qui ont encore plus de temps je recommande la lecture de tout l'ouvrageHistoire de la France rurale.
Tome 2 (de 1340 à 1789)
Troisième partie. De la crise ultime à la vraie croissance 1660-1789
(4ème chapitre et sous chapitres) Culture et religion campagnardes :
- Les voies du Seigneur et celles qui éloignent de lui
- C'est pas la faute à Voltaire
- Les livres qui parviennent aux paysans
Dans mon édition pages 505 à 546
Bonne lecture. Cordialement
Pierre
-
- VIP
- Messages : 5036
- Enregistré le : 21 avr. 2010 10:19
Re: Traduction acte naissance en Latin CAILLAU Marie Dominique
Bonjour Francis,
Voici la transcription de l'acte de décès de Marie Dominique
En marge :
sep(ulture)
de marie dominique CAILLIAUX
Le treizième juillet mil sept
cent cincquante cincq, a été
inhumé dans le cimetiere de
Lederseele par moÿ soussigne Cure
de la ditte paroisse, marie dominique
Calliau natifve de cette paroisse
voeufve en seconde noce de Jacques
drieux, âgee de soixante et quinze
ans et enterrée en presence de
guilliaume woets son beau fils, et
de jean francois nieuwens son
beau petit fils Lesquels ont
signé cet acte de leur signature
ordinaire
jf? Lay cure de Lederseele
la marq de Guilliame WOETS
la marq de jean fr NIEUWENS*
* peut-être ce patronyme a-t-il un rapport avec celui qui figure dans l'acte de baptême de Louise Françoise CAILLIAU en 1686 (acte fourni par Jean Louis, plus haut dans ce sous-forum)
24 aprilis bap(tisa)ta fuit Ludovica*
francisca CALLIAUX filia Joannis et
Ludovicae perdt coniugum, susceptores
erant Baulduinus peerdt, et
Ludovica francisca Nieuwenhuse
Le 24 avril (1686) fut baptisée Louise (=Louÿse dans l'acte de mariage de 1706)
Françoise CALLIAU fille de Jean et de
Louise PERDT, mariés, les parrain et marraine
étaient Baudouin PEERDT, et
Louise Françoise NIEUWENHUSE*
-*huse , actuellement -huis = maison). La forme monophtonguée -u- (comme en français du, bu, rue), subsiste dans les dialectes de Flandre occidentale, alors que la diphtongue s'utilise en Flandre orientale et dans la langue cultivée (ABN).
(VAN) NIEUWENHUYSE = l'équivalent du patronyme (de) MAISON NEUVE. Variantes en France p.ex. VANNINEUSE.
Voyez sur Geneanet la base VANTOURS :
VAN NIEUWENHUYSE, famille originaire de BRUGES, appartenant à la corporation des cordonniers, figurant dans les registres de bourgeoisie. ("poortersboeken").
Le titre de bourgeois s'obtenait en payant une cotisation en échange de la protection de la ville. Je ne détaille pas ici les autres avantages ou conditions, serment, etc.
Bourgeois forain = habitait à l'extérieur de la ville.
Vous avez intérêt à lire tous les baptêmes des enfants issus du couple Jean CAILLIAU-Louise PERDT. Comparez les bases des différents chercheurs, également flamands. Certains fournissent des dates, d'autres pas. Les prénoms peuvent varier...
(Dans l'ordre : Jacques Louis 1680, Marie Dominique 1681, Baudouin Pierre 1683, Louise Françoise 1686, Jean Baptiste 1688, Guillaume 1691, Guillemine 1693.)
Attention, tout doit être vérifié sur base d'actes!
Bonne soirée.
Marie
Voici la transcription de l'acte de décès de Marie Dominique
En marge :
sep(ulture)
de marie dominique CAILLIAUX
Le treizième juillet mil sept
cent cincquante cincq, a été
inhumé dans le cimetiere de
Lederseele par moÿ soussigne Cure
de la ditte paroisse, marie dominique
Calliau natifve de cette paroisse
voeufve en seconde noce de Jacques
drieux, âgee de soixante et quinze
ans et enterrée en presence de
guilliaume woets son beau fils, et
de jean francois nieuwens son
beau petit fils Lesquels ont
signé cet acte de leur signature
ordinaire
jf? Lay cure de Lederseele
la marq de Guilliame WOETS
la marq de jean fr NIEUWENS*
* peut-être ce patronyme a-t-il un rapport avec celui qui figure dans l'acte de baptême de Louise Françoise CAILLIAU en 1686 (acte fourni par Jean Louis, plus haut dans ce sous-forum)
24 aprilis bap(tisa)ta fuit Ludovica*
francisca CALLIAUX filia Joannis et
Ludovicae perdt coniugum, susceptores
erant Baulduinus peerdt, et
Ludovica francisca Nieuwenhuse
Le 24 avril (1686) fut baptisée Louise (=Louÿse dans l'acte de mariage de 1706)
Françoise CALLIAU fille de Jean et de
Louise PERDT, mariés, les parrain et marraine
étaient Baudouin PEERDT, et
Louise Françoise NIEUWENHUSE*
-*huse , actuellement -huis = maison). La forme monophtonguée -u- (comme en français du, bu, rue), subsiste dans les dialectes de Flandre occidentale, alors que la diphtongue s'utilise en Flandre orientale et dans la langue cultivée (ABN).
(VAN) NIEUWENHUYSE = l'équivalent du patronyme (de) MAISON NEUVE. Variantes en France p.ex. VANNINEUSE.
Voyez sur Geneanet la base VANTOURS :
VAN NIEUWENHUYSE, famille originaire de BRUGES, appartenant à la corporation des cordonniers, figurant dans les registres de bourgeoisie. ("poortersboeken").
Le titre de bourgeois s'obtenait en payant une cotisation en échange de la protection de la ville. Je ne détaille pas ici les autres avantages ou conditions, serment, etc.
Bourgeois forain = habitait à l'extérieur de la ville.
Vous avez intérêt à lire tous les baptêmes des enfants issus du couple Jean CAILLIAU-Louise PERDT. Comparez les bases des différents chercheurs, également flamands. Certains fournissent des dates, d'autres pas. Les prénoms peuvent varier...
(Dans l'ordre : Jacques Louis 1680, Marie Dominique 1681, Baudouin Pierre 1683, Louise Françoise 1686, Jean Baptiste 1688, Guillaume 1691, Guillemine 1693.)
Attention, tout doit être vérifié sur base d'actes!
Bonne soirée.
Marie
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 2 invités