Pour JDC :
Les actes viennent de quelle commune?
Si j'ai les originaux, je vais essayer de regarder si j'en ai de meilleur qualité;
Cécile
acte peu lisible
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Re: acte peu lisible
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Re: acte peu lisible
Bonsoir à tous et toutes,
Bonsoir à Miquette,
Tous les obstacles étant levés (Merci, Cécile), nous attendons donc les actes. "Chaussons tous nos besicles"!!!
A bientôt.
Marie
Bonsoir à Miquette,
Tous les obstacles étant levés (Merci, Cécile), nous attendons donc les actes. "Chaussons tous nos besicles"!!!
A bientôt.
Marie
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Re: acte peu lisible
Bonsoir Cécile,cecile a écrit :Pour JDC :
Les actes viennent de quelle commune?
Si j'ai les originaux, je vais essayer de regarder si j'en ai de meilleur qualité;
Cécile
Les actes viennent de la commune de Sepmeries dans le nord.
Il s'agit de l'acte de décès du 12/05/1834 de Jean Joseph MARECHAL
et de l'acte de mariage du 25/05/1821 de MARECHAL François x Geneviève FROMONT.
Je mets ces actes en ligne pour Marie.
Merci beaucoup pour votre aide.
Miquette.
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Re: acte peu lisible
Bonsoir Marie,MariedeBlyau a écrit :Bonsoir à tous et toutes,
Bonsoir à Miquette,
Tous les obstacles étant levés (Merci, Cécile), nous attendons donc les actes. "Chaussons tous nos besicles"!!!
A bientôt.
Marie
Voici donc les actes en pièces jointes.
Merci pour votre aide
Miquette
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Re: acte peu lisible
Bonjour Miquette,
Voici la transcription de l'acte de mariage. Jy ajoute une note concernant le métier exercé par votre ancêtre.
J'ai l'impression que vous avez envoyé deux fois cet acte ... mais pas le décès annoncé.
De temps en temps j'ai dû rectifier l'orthographe (-e au féminin, -s au pluriel). Je n'ai pas traduit la formule rituelle mais remplacé par la synthèse.
Pour les 2 derniers témoins j'ai dû deviner le lien de parenté avec l'épouse.
Amitiés.
Marie
Lan 1821 le 25 du mois de mai pardevant nous Hypolite Le Cerf maire soussigné officier de lEtat Civil de la Commune de SEPMERIES Canton du QUESNOY (Ouest) Département du Nord est comparu François Joseph MARECHAL âgé de 29 ans né à SEPMERIES le 16 du mois doctobre de lannée 1792 (voir son acte de naissance) mulquinier de profession domicilié à SEPMERIES, fils majeur de Jean Joseph et de Nathalie DELWARTE, domiciliés à SEPMERIES, le père présent et consentant au mariage,
d'une part.
Et Geneviève FROMONT âgée de 29 ans née à ARTRES le 25 du mois de mars de l'année 1792, fille majeure de Philippe et de feue Marie Joseph DREUMONT, tous domiciliés à ARTRES, le père présent et consentant au dit mariage.(...)
Les publications (des bans) ont été faites devant la principale porte d'entrée de notre maison communale le dimanche 13 du mois de mai (...), la seconde le dimanche suivant, le 20 du même mois
(...) aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée
(...) avons déclaré François Joseph MARECHAL et Geneviève FROMONT unis par les liens du mariage.
Suivent les noms et qualités des témoins en page 2.
Augustin WALLERAND, âgé de 51 ans, cultivateur de profession, domicilié à SEPMERIES, ami de l'époux
Augustin LEMES âgé de 30 ans, mulquinier de profession, domicilié au dit SEPMERIES, ami de l'époux
Et de la part de l'épouse
Jean FROMONT âgé de 43 ans, mulquinier de profession domicilié à ARTRES (?étant le frère de l'épouse)
et Charles Marie DEHON âgé de 42 ans, mulquinier de profession domicilié à ARTRES (?beau frère de l'épouse)
lesquels après que leur ait été fait lecture ont signé avec moi et les comparants.
http://www.genealogie.com/v2/genealogie ... _metier=85
MULQUINIER : Dans le nord de la France, aux XVIIème et XVIIIème siècles, on trouve fréquemment des personnes exerçant la profession de mulquinier. Le mulquinier est louvrier qui tisse les batistes, étoffes de toile fine de lin utilisées pour lhabillement. Il appartient à une industrie régionale prospère.
Un artisanat tout en finesse
Le mulquinier (ou meulquinier, murquinier, etc.) est lartisan qui fabrique les étoffes de lin. Lappellation dérive du vieux mot molaquin ou mollequin qui était une étoffe de toile fine que nos ancêtres utilisaient pour leur habillement. Souvent, le mulquinier achète directement le fil aux fileuses des villages et fait travailler sous sa direction, dans sa cave, des ouvriers tisseurs. On donne le nom de batiste (linon et toilettes) à ces toiles fines de lin. Toutefois, les mulquiniers et les tisseurs nutilisent jamais ce mot pour désigner leurs fabrications, mais les appellent des toilettes ou linons.
Les batistes sont fabriquées essentiellement dans le Cambrésis, qui est aujourdhui intégré presque entièrement dans le département du Nord, dans sa partie orientale. Toutefois, la consultation des registres paroissiaux du XVIIIème siècle montre la présence de mulquiniers, ou marchands de toilettes, dans dautres villages, notamment dans lAisne, le Pas-de-Calais et certaines communes du Hainaut.
La tradition veut que ce soit un nommé Baptiste du village de Courtaing, près de Cambrai, qui tissa vers 1300 les premières toiles fines. Le lin qui sert à la fabrication des batistes est récolté, roui et filé dans le Cambrésis. Les toiles sont blanchies dans la région. Tout ce travail constitue une vaste industrie qui participe longtemps à la prospérité de la région. La filature du lin natteint nulle part ailleurs une telle perfection. La finesse de ses fils est telle que, pour obtenir un poids de 500 grammes, il faut une longueur de fil de 250 km ! Les fils utilisés dans dautres villes, comme Valenciennes pour les dentelles, sont de moins bonne qualité. Outre le fil utilisé, on attribue généralement la qualité des batistes aux propriétés des caves où elles sont tissées, à leurs conditions dhumidité et de température.
Gloire et déboire du batiste
Le succès des toiles du Cambrésis, tant en France quà létranger (Italie, Espagne et dautres pays plus éloignés), incite dautres villes (Valenciennes, Douai, Péronne, Saint-Quentin, Bapaume...) à se lancer dans la fabrication de toiles, quelles vendent sous le nom de toiles de Cambrai. Sous le Premier Empire, 350 000 pièces de batiste sont ainsi fabriquées dans la région de Cambrai. Cette extension géographique de lindustrie du lin entraîne une baisse de la production dans le Cambrésis proprement. Lapparition de nouveaux tissus, comme les mousselines, concurrence également la batiste. Le perfectionnement de la filature de coton et lapparition des machines, la crise de 1788-1789 contribuent à la diminution de sa fabrication et à partir de la Restauration la production ne cesse de diminuer. En 1844, on nen tisse plus que 90 000 pièces. Cest à la fin du XIXème siècle que disparaît complètement cette industrie.
Extrait du chapitre concerné, dans louvrage Les métiers dautrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.
Voici la transcription de l'acte de mariage. Jy ajoute une note concernant le métier exercé par votre ancêtre.
J'ai l'impression que vous avez envoyé deux fois cet acte ... mais pas le décès annoncé.
De temps en temps j'ai dû rectifier l'orthographe (-e au féminin, -s au pluriel). Je n'ai pas traduit la formule rituelle mais remplacé par la synthèse.
Pour les 2 derniers témoins j'ai dû deviner le lien de parenté avec l'épouse.
Amitiés.
Marie
Lan 1821 le 25 du mois de mai pardevant nous Hypolite Le Cerf maire soussigné officier de lEtat Civil de la Commune de SEPMERIES Canton du QUESNOY (Ouest) Département du Nord est comparu François Joseph MARECHAL âgé de 29 ans né à SEPMERIES le 16 du mois doctobre de lannée 1792 (voir son acte de naissance) mulquinier de profession domicilié à SEPMERIES, fils majeur de Jean Joseph et de Nathalie DELWARTE, domiciliés à SEPMERIES, le père présent et consentant au mariage,
d'une part.
Et Geneviève FROMONT âgée de 29 ans née à ARTRES le 25 du mois de mars de l'année 1792, fille majeure de Philippe et de feue Marie Joseph DREUMONT, tous domiciliés à ARTRES, le père présent et consentant au dit mariage.(...)
Les publications (des bans) ont été faites devant la principale porte d'entrée de notre maison communale le dimanche 13 du mois de mai (...), la seconde le dimanche suivant, le 20 du même mois
(...) aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée
(...) avons déclaré François Joseph MARECHAL et Geneviève FROMONT unis par les liens du mariage.
Suivent les noms et qualités des témoins en page 2.
Augustin WALLERAND, âgé de 51 ans, cultivateur de profession, domicilié à SEPMERIES, ami de l'époux
Augustin LEMES âgé de 30 ans, mulquinier de profession, domicilié au dit SEPMERIES, ami de l'époux
Et de la part de l'épouse
Jean FROMONT âgé de 43 ans, mulquinier de profession domicilié à ARTRES (?étant le frère de l'épouse)
et Charles Marie DEHON âgé de 42 ans, mulquinier de profession domicilié à ARTRES (?beau frère de l'épouse)
lesquels après que leur ait été fait lecture ont signé avec moi et les comparants.
http://www.genealogie.com/v2/genealogie ... _metier=85
MULQUINIER : Dans le nord de la France, aux XVIIème et XVIIIème siècles, on trouve fréquemment des personnes exerçant la profession de mulquinier. Le mulquinier est louvrier qui tisse les batistes, étoffes de toile fine de lin utilisées pour lhabillement. Il appartient à une industrie régionale prospère.
Un artisanat tout en finesse
Le mulquinier (ou meulquinier, murquinier, etc.) est lartisan qui fabrique les étoffes de lin. Lappellation dérive du vieux mot molaquin ou mollequin qui était une étoffe de toile fine que nos ancêtres utilisaient pour leur habillement. Souvent, le mulquinier achète directement le fil aux fileuses des villages et fait travailler sous sa direction, dans sa cave, des ouvriers tisseurs. On donne le nom de batiste (linon et toilettes) à ces toiles fines de lin. Toutefois, les mulquiniers et les tisseurs nutilisent jamais ce mot pour désigner leurs fabrications, mais les appellent des toilettes ou linons.
Les batistes sont fabriquées essentiellement dans le Cambrésis, qui est aujourdhui intégré presque entièrement dans le département du Nord, dans sa partie orientale. Toutefois, la consultation des registres paroissiaux du XVIIIème siècle montre la présence de mulquiniers, ou marchands de toilettes, dans dautres villages, notamment dans lAisne, le Pas-de-Calais et certaines communes du Hainaut.
La tradition veut que ce soit un nommé Baptiste du village de Courtaing, près de Cambrai, qui tissa vers 1300 les premières toiles fines. Le lin qui sert à la fabrication des batistes est récolté, roui et filé dans le Cambrésis. Les toiles sont blanchies dans la région. Tout ce travail constitue une vaste industrie qui participe longtemps à la prospérité de la région. La filature du lin natteint nulle part ailleurs une telle perfection. La finesse de ses fils est telle que, pour obtenir un poids de 500 grammes, il faut une longueur de fil de 250 km ! Les fils utilisés dans dautres villes, comme Valenciennes pour les dentelles, sont de moins bonne qualité. Outre le fil utilisé, on attribue généralement la qualité des batistes aux propriétés des caves où elles sont tissées, à leurs conditions dhumidité et de température.
Gloire et déboire du batiste
Le succès des toiles du Cambrésis, tant en France quà létranger (Italie, Espagne et dautres pays plus éloignés), incite dautres villes (Valenciennes, Douai, Péronne, Saint-Quentin, Bapaume...) à se lancer dans la fabrication de toiles, quelles vendent sous le nom de toiles de Cambrai. Sous le Premier Empire, 350 000 pièces de batiste sont ainsi fabriquées dans la région de Cambrai. Cette extension géographique de lindustrie du lin entraîne une baisse de la production dans le Cambrésis proprement. Lapparition de nouveaux tissus, comme les mousselines, concurrence également la batiste. Le perfectionnement de la filature de coton et lapparition des machines, la crise de 1788-1789 contribuent à la diminution de sa fabrication et à partir de la Restauration la production ne cesse de diminuer. En 1844, on nen tisse plus que 90 000 pièces. Cest à la fin du XIXème siècle que disparaît complètement cette industrie.
Extrait du chapitre concerné, dans louvrage Les métiers dautrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.
Modifié en dernier par MariedeBlyau le 03 mai 2011 02:37, modifié 2 fois.
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Re: acte peu lisible
Bonjour Miquette,
Ce petit mot pour faire remonter la traduction de l'acte de mariage complet dans la file... et que vous en soyez prévenue. Vous le trouverez en page 1 de cette rubrique.
A bientôt... pour la traduction de l'acte de décès, qu'il faudrait mettre en ligne!
Amitiés.
Marie
Ce petit mot pour faire remonter la traduction de l'acte de mariage complet dans la file... et que vous en soyez prévenue. Vous le trouverez en page 1 de cette rubrique.
A bientôt... pour la traduction de l'acte de décès, qu'il faudrait mettre en ligne!
Amitiés.
Marie
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Re: acte peu lisible
MariedeBlyau a écrit :Bonjour Miquette,
Ce petit mot pour faire remonter la traduction de l'acte de mariage complet dans la file... et que vous en soyez prévenue. Vous le trouverez en page 1 de cette rubrique.
A bientôt... pour la traduction de l'acte de décès, qu'il faudrait mettre en ligne!
Amitiés.
Marie
Bonsoir,
Merci beaucoup pour la transcription.
Je réponds un peu tard mais j'ai du m'absenter quelques jours.
Quelle étourdie je fais en envoyant 2 fois le même acte.
En pièce jointe, l'acte de décès.
Merci encore, cela m'aide beaucoup.
Bonne soirée
Miquette
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Re: acte peu lisible
Bonjour Miquette,
Voici ce que j'ai pu extraire de l'acte de décès :
An 1834 le 12 du mois de mai
pardevant nous Hippolite DECERF maire officier de l'Etat Civil de la Commune de SEPMERIES Canton du QUESNOY (ouest) Département du Nord,
sont comparus Remy Joseph MARECHAL âgé de 24 ans, maréchal ferrant, propre fils du défunt (...) domicilié à SEPMERIES,
et Alexis MARECHAL âgé de 32 ans, tisserand, (...)
lesquels nous ont déclaré que le même jour à douze heures et demi du matin JEAN JOSEPH MARECHAL âgé de soixante quatre ans, né à MARESCHES, domicilié à SEPMERIES, cultivateur, fils du défunt CLAUDE JOSEPH MARECHAL et d'ANNE JOSEPH GUÉRY (...) vivante, domiciliée à MARESCHES, est décédé en sa maison sise rue BATARDE* audit SEPMERIES, ainsi que nous nous en sommes assurés, et les déclarants ont signé avec nous le présent acte de décès, après que lecture leur en a été faite.
s/alexis MARECHAL H.LECERF
Remy MARECHALLE
*La rue Batarde existe toujours.
Vous avez de la chance. Plusieurs généalogistes, dont Roselyne DEMARQUE (sur GENEANET) semblent avoir les mêmes ancêtres sur SEPMERIES ET MARESCHES. Attention il y a eu beaucoup de recopiages de cette base. Tout doit être vérifié et prouvé par des actes!
Votre ancêtre le plus éloigné est André MARECHAL, valet de charrue, manoeuvre, père d'Estienne MARECHAL, °1710 à B-7387 ROISIN dans le Hainaut (Belgique) et décédé à MARESCHES le 20 septembre 1750. Il est le père de CLAUDE JOSEPH MARECHAL °MARESCHES, 07.11.1735, époux d'Anne Joseph GUÉRY (mentionnés ci-dessus), et d'ALEXIS. Puis vous avez Jean Joseph x Nathalie Joseph DELWARTE (mentionnés dans l'acte précédent).
Vous avez l'avantage de posséder ces deux actes.
Bonne journée.
Marie
Voici ce que j'ai pu extraire de l'acte de décès :
An 1834 le 12 du mois de mai
pardevant nous Hippolite DECERF maire officier de l'Etat Civil de la Commune de SEPMERIES Canton du QUESNOY (ouest) Département du Nord,
sont comparus Remy Joseph MARECHAL âgé de 24 ans, maréchal ferrant, propre fils du défunt (...) domicilié à SEPMERIES,
et Alexis MARECHAL âgé de 32 ans, tisserand, (...)
lesquels nous ont déclaré que le même jour à douze heures et demi du matin JEAN JOSEPH MARECHAL âgé de soixante quatre ans, né à MARESCHES, domicilié à SEPMERIES, cultivateur, fils du défunt CLAUDE JOSEPH MARECHAL et d'ANNE JOSEPH GUÉRY (...) vivante, domiciliée à MARESCHES, est décédé en sa maison sise rue BATARDE* audit SEPMERIES, ainsi que nous nous en sommes assurés, et les déclarants ont signé avec nous le présent acte de décès, après que lecture leur en a été faite.
s/alexis MARECHAL H.LECERF
Remy MARECHALLE
*La rue Batarde existe toujours.
Vous avez de la chance. Plusieurs généalogistes, dont Roselyne DEMARQUE (sur GENEANET) semblent avoir les mêmes ancêtres sur SEPMERIES ET MARESCHES. Attention il y a eu beaucoup de recopiages de cette base. Tout doit être vérifié et prouvé par des actes!
Votre ancêtre le plus éloigné est André MARECHAL, valet de charrue, manoeuvre, père d'Estienne MARECHAL, °1710 à B-7387 ROISIN dans le Hainaut (Belgique) et décédé à MARESCHES le 20 septembre 1750. Il est le père de CLAUDE JOSEPH MARECHAL °MARESCHES, 07.11.1735, époux d'Anne Joseph GUÉRY (mentionnés ci-dessus), et d'ALEXIS. Puis vous avez Jean Joseph x Nathalie Joseph DELWARTE (mentionnés dans l'acte précédent).
Vous avez l'avantage de posséder ces deux actes.
Bonne journée.
Marie
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Re: acte peu lisible
Bonsoir Marie,
Merci beaucoup pour tous ces renseignements.
Et un grand merci pour la transcription.
Bonne soirée
Miquette
Merci beaucoup pour tous ces renseignements.
Et un grand merci pour la transcription.
Bonne soirée
Miquette
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Re: acte peu lisible
Bonjour à toutes et tous
Juste une réaction à propos de la ligne figurant ici en rouge
En ce qui concerne cette ligne je lis très distinctement :
Alexis MARECHAL âgé de 32 ans, tisserand, domicilié au même lieu, gendre du défunt
Gendre et non fils, celà me parait une information importante, surtout quand on veut étudier un patronyme aussi répandu que "MARECHAL", où le risque est grand de confondre des homonymes
Dans cet acte précédent c'est DESWARTE (= "le NOIR") que je lis
Cordialement
Pierre
Juste une réaction à propos de la ligne figurant ici en rouge
MariedeBlyau a écrit :Voici ce que j'ai pu extraire de l'acte de décès :
An 1834 le 12 du mois de mai
pardevant nous Hippolite DECERF maire officier de l'Etat Civil de la Commune de SEPMERIES Canton du QUESNOY (ouest) Département du Nord,
sont comparus Remy Joseph MARECHAL âgé de 24 ans, maréchal ferrant, propre fils du défunt (...) domicilié à SEPMERIES,
et Alexis MARECHAL âgé de 32 ans, tisserand, (...)
lesquels nous ont déclaré que le même jour à douze heures et demi du matin JEAN JOSEPH MARECHAL âgé de soixante quatre ans, né à MARESCHES, domicilié à SEPMERIES, cultivateur, fils du défunt CLAUDE JOSEPH MARECHAL et d'ANNE JOSEPH GUÉRY (...) vivante, domiciliée à MARESCHES, est décédé en sa maison sise rue BATARDE* audit SEPMERIES, ainsi que nous nous en sommes assurés, et les déclarants ont signé avec nous le présent acte de décès, après que lecture leur en a été faite.
En ce qui concerne cette ligne je lis très distinctement :
Alexis MARECHAL âgé de 32 ans, tisserand, domicilié au même lieu, gendre du défunt
Gendre et non fils, celà me parait une information importante, surtout quand on veut étudier un patronyme aussi répandu que "MARECHAL", où le risque est grand de confondre des homonymes
MariedeBlyau a écrit :Puis vous avez Jean Joseph x Nathalie Joseph DELWARTE (mentionnés dans l'acte précédent).
Dans cet acte précédent c'est DESWARTE (= "le NOIR") que je lis
Cordialement
Pierre
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